Alors aujourd'hui, pour leur faire plaisir, j'ai tenté de la faire moi-même.
C'est tellement simple, je ne sais pas pourquoi je n'avais pas essayé avant !
Peut-être parce que voir toute cette mayonnaise que l'on déverse dans les pommes de terre, ça fait un peu mal au cœur. Peut-être...
Mais attention, c'est tout de même de la mayonnaise maison et coupée avec du yaourt 0% ! Ça deviendrait presque light comme recette !
LA RECETTE DE LA MAYONNAISE :
La liste des courses :
1 jaune d'oeuf
1 cuillère à café de moutarde
sel, poivre
huile de tournesol
Une heure avant de faire votre mayonnaise, sortir l’œuf du frigo et éventuellement votre moutarde.
Dans un bol (ici celui de mon robot) mettre le jaune d'oeuf mélangé à la moutarde et au sel et poivre.
Commencer à battre vivement. Comme le mélange devient plus épais et crémeux, verser l'huile en filet par intermittence mais sans jamais cesser de battre.
Arrêter quand la quantité de mayonnaise est suffisante.
MA RECETTE DE SALADE PIÉMONTAISE :
La liste des courses :
une dizaine de pommes de terre à chair ferme
une dizaine de tomates cerises (ou 2 tomates normales)
200g de dés de jambon (demander le talon de votre bon jambon à votre boucher s'il a ça sous la main)
une dizaine de petits cornichons (ici, j'avais 3 gros malossol)
3 œufs durs
une dizaine de petits radis (facultatif mais ici ils allaient particulièrement bien car les cornichons étaient très doux)
1 pot de yaourt nature
1 pot de mayonnaise (un peu moins peut-être)
ciboulette (facultative)
Faire cuire les pommes de terre à la vapeur. Les peler. Les couper en gros morceaux.
Les mettre dans un saladier avec les tomates coupées en tout petits morceaux, les dés de jambon, les cornichons et les radis en fines rondelles et les œufs durs coupés en 4.
Mélanger le yaourt et la mayonnaise. Les verser sur la salade. Mélanger délicatement.
Conserver au frais (au moins une heure c'est bien, plusieurs, c'est encore mieux, mais pas plus d'une journée).
Faites-vous plaisir !
Je raffole de ça mais suis la seule à en manger à la maison, quel dommage !
RépondreSupprimer