Joli souvenir d'une promenade dans les forêts de Sologne...
Au déjeuner, nous mangerons donc des girolles, avec les restes du gigot.
LA TECHNIQUE DE CUISSON DES GIROLLES :
Le plus important, c'est de les blanchir avant de les faire cuire.
Il faut qu'elles perdent leur eau, donc, après les avoir rapidement nettoyées dans un grand récipient d'eau pour enlever les morceaux de terre ou de mousse, on les met à feu doux dans une grande sauteuse sans aucune matière grasse.
Après quelques minutes (une dizaine), les champignons baigneront dans leur propre eau de végétation.
Les égoutter.
Puis les faire cuire, les faire revenir dans un peu d'huile, puis y ajouter une gousse d'ail écrasée, du sel, du poivre et du persil haché.
Ben merdre alors ! j'avais écrit un commentaire mais il a disparu dans la dimension web 4.0 (là, je fait la maligne parce que j'ai jamais vraiment compris ce que signifiait 2.0)
RépondreSupprimerDonc, j'y disais (en un peu moins brut) que "blanchir" signifiait plonger brièvement des aliments dans de l'eau bouillante salée. Heureusement, ce n'est pas ce que tu as fait avec ces belles girolles ! Ceci dit, mieux vaut les nettoyer avec un linge humide que les plonger dans l'eau (mais bon, quand on en a des kilos…)
Toi, tu les as intelligemment fait suer, mais en fait on peut effectuer l'opération à feu fort et poursuivre jusqu'à élimination de l'eau de végétation par évaporation.
Sinon, je suis méga jalouse. La cueillette des girolles c'est l'une de mes madeleines. Mais c'était dans le Morvan, avec mes grands parents. Depuis je n'ai réussi qu'une fois à trouver un coin à champignons (des lactaires délicieux quand j'habitais au pied du Ventoux).